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ARTISTES TRAMEURS-TRAMEUSES
30 août 2018

Biennale Saint Laurent 2018

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PROCHAINE PARTICIPATION DE Olivier Fouchard  :
Biennale Saint-Laurent,
Galerie Xavier Jouvin,
Quai Xavier Jouvin

38000 Grenoble

MUSÉE DAUPHINOIS

Musée dauphinois
30 rue Maurice Gignoux
38031 Grenoble cedex 1

Accueil : 04 57 58 89 01
Télécopie : 04 76 87 60 22
musee.dauphinois@cg38.fr

Détail de

PROCHAINE PARTICIPATION DE Olivier Fouchard et Olivier Fouchard Atelier : 

Olivier Fouchard

Olivier Fouchard is on Facebook. Join Facebook to connect with Olivier Fouchard and others you may know. Facebook gives people the power to share and makes the world more open and connected.

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Olivier Fouchard Atelier

Olivier Fouchard Atelier. 68 likes · 53 talking about this. Atelier Olivier FOUCHARD

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olivier fouchard olivier

site de l'artiste olivier fouchard olivier wix.com

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Biennale Saint-Laurent, Grenoble...:

Biennale St-Laurent | Place Gre'net

Prenez trente-cinq artistes, proposez-leur un thème, faites-les exposer, le temps d'un week-end - en l'occurrence celui des Journées du patrimoine qui se déroulent du 17 au 18 septembre -, dans une trentaine de lieux du quartier Saint-Laurent et vous obtenez la Biennale Saint-Laurent.

https://www.placegrenet.fr
Biennale Saint-Laurent

Biennale Saint-Laurent. 221 likes. L'édition 2018 aura lieu les 15 et 16 septembre prochains.

https://www.facebook.com

Galerie Xavier Jouvin,

Quai Xavier Jouvin 38000 Grenoble :

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Galerie Xavier Jouvin

Galerie Xavier Jouvin. 107 likes. La Galerie Xavier Jouvin est un espace d'exposition dédié à l'expression artistique des étudiants des Beaux-Arts de Grenoble et Valence.

https://www.facebook.com
Accueil

Galerie Xavier-Jouvin à Grenoble. Site d'exposition lié à l'ESAD Grenoble-Valence

http://galeriexavierjouvin.wixsite.com

Musée dauphinois

30 rue Maurice Gignoux
38031 Grenoble cedex 1

Accueil : 04 57 58 89 01
Télécopie : 04 76 87 60 22
musee.dauphinois@cg38.fr
Musée dauphinois, Grenoble - Musée dauphinois

MAISON BERGÈS MUSÉE DE LA HOUILLE BLANCHE MUSÉE ARCHEOLOGIQUE - EGLISE SAINT-LAURENT MUSÉE DE L'ANCIEN ÉVÊCHÉ MUSÉE CHAMPOLLION MUSÉE D'ART SACRÉ CONTEMPORAIN SAINT-HUGUES DE CHARTREUSE

http://www.musee-dauphinois.fr

PROJET POUR LA BIENNALE DE SAINT LAURENT 2018
sur le thème de : L’Art du partage

(note d'intentions) :
Depuis de longues années (environ 32 ans maintenant) le dessin est pour moi la base même de mon travail. Si il était encore figuratif dans les années 90, depuis 2008, il est presque exclusivement « abstrait » mise à part quelques paysages, le projet Babel aussi (il sagit d'une tour, donc en quelque sorte d'architecture), ou quelques croquis, délassement de peintre ou fantaisies ou exceptions...
« La trame, c'est le dessin » comme le déclarais Pierre DRUESNES dans les années 80... Pendant trente ans donc, j'ai considéré qu'une touche de couleur ne pouvait pas exister sans une ligne pour vecteur et une autre ligne pour l'interrompre...et depuis quelques temps ( 2 ou 3 ans) j'essaye de me libérer de cette contrainte du dessin et me libérer du dessin au profit d'une gestuelle pure qui me condurait à continuer à dessiner mais cette fois avec la peinture ou du moins la couleur, ce qui n'est pas tout a fait la même chose.
Aussi, à chaque fois je ne peux m'empêcher de retourner inlassablement au dessin, avec une règle le plus souvent et plus rarement avec un rapporteur ( décalages de quadrillages en trames) ou compas pour d'autres recherches etc...
Il n'a jamais été facile pour moi de sortir du bois ou de mon atelier pour montrer mon travail avec d'autres artistes que je ne connais pas et partager un espace avec eux. J'ai remarqué à quelques exceptions près que c'était souvent un joie et parfois une véritable fête.
Ce matin, j'ai accroché quelques dessins sur le murs de l'Atelier pour essayer d'entrevoir si il m'était possible de répondre à cet appel à candidature reçu par mail. Et j'ai penser que çà pouvait le faire. Aussi cette Biennale de Saint-Laurent 2018 je veux m'intéresser aux sens du mots « partage » sous plusieurs angles :
– d'abord, le partage de l'espace d'une feuille de papier au sans de la division quelle soit de façon égalitaire et non hiérarchique ou
inégalitaire, en délimitant peut-être des surfaces plus importantes
que d'autre, je ne sais.
– Ensuite l'Art du partage sera d'utiliser la couleurs dans le dessin à
l'aide d'outils réservés à l'écriture ou au graphisme tels que stylo à bille (encres typographiques) ou de feutres à encres, de crayons de couleurs etc...
– Enfin, il faudra partager l'espace d'exposition avec d'autres exposants et tâcher de pas pendre d'espace ou d'importance plus qu'il n'est nécessaire. En ces temps d'égoïsme et de replis sur soi, d'intolérance et de mépris, je m'efforcerais donc de partager ce fragment d'espace-temps qu'est la biennale dans un esprits de bienveillance et d'ouverture, de convivialité...
Les visuels, reproductions et images suivantes présenterons quelques
parcelles de mon travail graphique tout en sachant que je ne sais pas
encore ce qui sera présenté : cela reste encore à réaliser : donc à
dessiner...
Olivier Fouchard, à Rives, le 7 mars 2018.

PROJECT FOR THE SAINT LAURENT 2018 BIENNIAL
on the theme of :
The Art of Sharing
(note of intentions):
For many years (about 32 years now) drawing is for me the very basis of my work. If it was still figurative in the 90s, since 2008, it is almost exclusively "abstract" apart from some landscapes, the Babel project too (it is a tower, so somehow architecture), or some sketches , painter's relaxation or fantasies or exceptions ...
"The frame is the drawing" as declared Pierre DRUESNES in the 80s ... For thirty years, therefore, I considered that a touch of color could not exist without a line for vector and another line to interrupt it ... and for some time (2 or 3 years) I try to free myself from this constraint of the drawing and free myself from the drawing in favor of a pure gesture which led me to continue to draw but this time with paint or at least color, which is not quite the same thing.
Also, every time I can not help but go back tirelessly to the drawing, with a rule most often and more rarely with a protractor (offsets grids in frames) or compass for other research etc ...
It has never been easy for me to get out of the wood or my studio to show my work with other artists I do not know and share a space with them. I noticed with few exceptions that it was often a joy and sometimes a real party.
This morning, I hung some drawings on the walls of the Atelier to try to see if I could answer this call for applications received by email. And I think that could do it. Also this Biennale of Saint-Laurent 2018 I want to be interested in the meaning of the words "sharing" from several angles:
- first, the division of the space of a sheet of paper to the without of the division which is in an egalitarian way and not hierarchical or
unequal, possibly delimiting larger areas
that else, I do not know.
- Then the art of sharing will be to use the colors in the drawing to
using tools reserved for writing or graphics such as ballpoint pen (ink typographic) or ink felts, crayons etc ...
- Finally, it will be necessary to share the exhibition space with other exhibitors and try not to hang space or importance more than it is necessary. In these times of egotism and withdrawal, of intolerance and contempt, I would strive to share this fragment of space-time that is the biennale in a spirit of benevolence and openness, conviviality ...
The following visuals, reproductions and images will present some
plots of my graphic work while knowing that I do not know
what will be presented: this still remains to be achieved:
draw...
Olivier Fouchard, in Rives, on March 7th, 2018.

WORK IN PROGRESS / BIENNALE SAINT LAURENT 2018 :
LE DESSIN DANS TOUT SES ÉTATS / L'ART DU PARTAGE:
Notes de travail :
D'abord le partage de la surface : je découpe des rectangles et des carrés de dimension variés dans des papiers de grammages distincts en fonction des stock qui me restent.
Le papier a ceci de précieux qu'il vienne du sacrifices des arbres ou du recyclage de vieux chiffons ou même maintenant de la pierre ou d'autre matériaux... : il contient déjà le travail de l'homme : ne serais ce que programmer et surveiller la machine...
Ici à Rives (ex-ville papetière) certains y ont laissé un doigt ou y ont passés leur vie.
Ainsi je prend une fin de rouleau ou une rame récupéré dans une benne ou bien carrément trouvé dans une poubelle en bas de mon atelier (parfois les ouvriers complétaient leur salaires en revendant du papier ainsi récupéré a l'usine...).
Aussi, je suis allé un peu plus haut dans le ville, au magasin de bricolage pour acquérir du métrage de grilles de jardins qui me servirons de gabarit ou de pochoir : « dessin » base de ce qui deviens en quelques sorte du « coloriage » ou encore du « décalque » ou « détourage » de forme d'après ces trames de plastiques verts...Une sorte d' « anti-dessin » d'une certaine manière si l'on se base sur une supposée utilisation libre de la ligne : ici les lignes sont prédéterminées, la liberté se trouve dans leurs orientations, les couleurs utilisées et l'ordre de leur agencement le plus souvent sériel et déterminée à la règle, à l'équerre et au rapporteur tout comme autrefois le dessin industriel.
Une liberté restreinte ? Je ne sait pas, on est pas venu me chercher avec un révolver pour dessiner...je n'y suis pas contraint, voilà aussi ma liberté... La liberté aussi d'utiliser des matériaux initialement destinés à autre chose : En effet ce n'est pas tout à fait par hasard si j'ai choisis ces « grilles de jardins » initialement destinés à séparer les jardins, les propriété privées et aussi les habitants; séparer les vies de ces qui veulent bien se voir un peu mais chacun chez soi et le bon Dieu pour tous »...et parfois s'observent et se toisent comme « en chiens de faïence » : Pour servir de motif de départ et coller au sujet : « l'art du partage » il n'y a pas mieux (rires)...
Aussi le plus souvent, j'ai essayer de prendre le partage au sens d'une division de l'espace : d'abord égalitaire, mais aussi sérielle, et parfois aussi en établissant des zones plus ou moins contrastées en donnant des titres a ces dessins (patiemment « exécutés » ou « improvisé » parfois ) comme par exemples : « Mes Tissages », « Consanguinités », « Syncrétismes » « Tissus d'erreurs », « Gentrifications » etc...
Ce n'est pas par hasard non plus si la plupart du temps j'utilise des stylo à billes pour ces dessins d'ordinaire réservés à l'écriture en classe ou au bureau qui tend tout comme le papier à être remplacé par des écrans et des trackpads suis entrain de penser en tapant ces mon sur mon mac un peu crade...
J'ai mis un point d'honneur a acheter mes stylographes à la papeterie, en bas de chez moi, comme une provision de dépannage de proximité, certes un peu plus chers qu'ailleurs...
Outils d'écritures, grilles de séparations, sacrifices des arbres, c'est un peu de l'histoire de nos sociétés qui s'inscrit là; cette histoire qui se trame petit a petit « cas(s)es après cas(s)es » en prenant le temps qu'il faut pour le faire : plus qu'il n'en faudrait avec une autre technique comme la sérigraphie ou bien l'impression numérique qu'on utilise habituellement et pour d'autre fonction : « la trame conventionnelle d'impression »..;
A tout prix chercher la lenteur donc, prendre plus de temps que d'ordinaire, ce même temps nécessaire aux tableaux par ailleurs, le contraire de la rentabilité immédiate, l'inverse de l'efficacité, a contre-courant en somme, comme à rebours, presque une révolte...mais pas une révolution, cela ne se fait pas tout seul...
Aussi n'ayant pas encore vu l'endroit ou les dessins seront épinglés ou punaisés au mur tout comme des notes de services dans les bureaux ou bien les posters que je collectionnait dans ma chambre d'ado jadis...; les dessins devront donc s'adapter à une architecture données, c'est comme s'adapter à l'autre, c'est un peu ça aussi l'art du partage, la division de l'espace, la sélection peut-être aussi des amis, des dessins, des participants à la biennale mais aussi un pas vers l'autre, en fonction de l'autre et parfois avec l'autre : Autrui : Altruisme, c'est un joli mot, c'est aussi ce qui me fait vivre (les minimas sociaux). J'ai toujours secrètement pensé qu'une partie importante de mon travail appartenait aux personnes sui cotisaient pour mes allocations de survie et leur place dans un musée public...aujourd'hui cela ne me suffit plus, la vie devenue trop chère m'oblige parfois à devoir vendre mon travail et non plus le partager de la meilleure façon : « gratis » pour rien sans même être rémunéré pour le travail d'accrochage et de scénographie, les frais de transport, le temps passé … Depuis un certain temps j'ai constaté que souvent on demandait de l'argent aux artistes pour qu'ils puisse partager ce moment avec les « regardants » : d'une certaine manière on leur fait payer encore une seconde fois cette liberté... On peut dire maintenant que certains louent des espaces de liberté, des espaces de partages comme le font les marchands de sommeil recyclés en trafiquants de rêves … tout comme on construit ça et là des camps de rétention ou bien des guettos comme la ville dortoir ou je vis et travaille.... C'est ainsi donc que vivent les hommes et cette histoire là il faudra bien un jour la raconter ...et c'est ce qu'il me faut commencer un peu à faire … sinon dans mes peintures, peut-être un peu aussi dans les dessins ou dans les carnets d'atelier...car leur histoire c'est aussi un peu la mienne, même si j'aime parfois rester comme retrait...quand cela est possible...mais peut-être ne sais-je raconter seulement mon histoire qui parfois aussi peut-être un peu la leur...
D'ici septembre donc, quelque chose va donc se tramer ici dans l'atelier, tant bien que mal, car ma femme qui se lève tous les matins vers cinq heures et insiste pour partir en vacances quelque part ou l'on veux bien de nous, comme sur invitation, un peu comme dans les inaugurations...Les vacances, 1936, les congés payé inscrits dans la loi... Elle va faire une drôle de tête quand une fois de plus elle va s'apercevoir que j'ai glissé dans mes bagages quelques carnets, des stylos, des critériums, des crayons de couleurs peut-être et...un petit carton à dessins...
Olivier Fouchard,
à Rives, le 25 Juin 2018

P1010034

Ci- dessus : Dessins de recherches 2018 Collection de l'Artiste, Rives)

Above: Research Drawings 2018 Collection of the Artist, Rives)

Below: Research Drawings 2018 Collection Particulière, Domène)

Ci- dessous : Dessins de recherches 2018 Collection Particulière, Domène)

P1010038

WORK IN PROGRESS / BIENNALE SAINT LAURENT 2018:
DRAWING IN ALL ITS STATES / THE ART OF SHARING:
Working notes:
Firstly, the division of the surface: I cut rectangles and squares of various sizes in papers of different weights depending on the stock that I have left.
The paper has this precious that it comes from the sacrifices of the trees or the recycling of old rags or even now of the stone or other materials ...: it already contains the work of the man: would not it be that to program and monitor the machine ...
Here in Rives (former paper city) some have left a finger or have spent their life there.
So I take a roll end or an oar retrieved from a bucket or found in a garbage bin at the bottom of my workshop (sometimes the workers supplemented their salaries by reselling paper and recovered at the factory ...).
Also, I went a little further up in the city, at the DIY store to buy footage of garden grills that I will use as a template or stencil: "drawing" basis of what kind of become "coloring" or still some "decal" or "clipping" of form according to these frames of green plastics ... A kind of "anti-drawing" in a certain way if we base ourselves on a supposed free use of the line Here the lines are predetermined, the freedom is in their orientations, the colors used and the order of their arrangement most often serial and determined to the rule, the square and the protractor as formerly the industrial design.
Restricted freedom? I do not know, we did not come to fetch me with a revolver to draw ... I'm not forced, that's also my freedom ... The freedom also to use materials originally intended for something else: Indeed it is not quite by chance if I chose these "garden grills" originally intended to separate gardens, private property and also the inhabitants; to separate the lives of those who want to see each other a little but everyone at home and the good God for all "... and sometimes observe and look at each other like" in earthenware dogs ": To serve as a reason for starting and sticking about: "the art of sharing" there is no better (laughs) ...
So most of the time, I try to take the sharing in the sense of a division of space: first egalitarian, but also serial, and sometimes also by establishing more or less contrasted zones by giving titles to these drawings (patiently "executed" or "improvised" sometimes) as for example: "My Weaves", "Consanguinities", "Syncretisms" "Fabrics of errors", "Gentrifications" etc ...
It's not by chance either that most of the time I use ballpoint pens for those drawings usually reserved for writing in the classroom or at the desk that tends just like paper to be replaced by screens and trackpads am thinking of typing these my on my mac a little dirty ...
I made a point of honor to buy my pens at the stationery, down from my home, as a provision for troubleshooting proximity, certainly a little more expensive than elsewhere ...
Tools of writing, grids of separations, sacrifices of the trees, it is a little of the history of our societies which is registered there; this story which is set little by little "case (s) after case (s)" by taking the time it takes to do it: more than it would take with another technique such as screen printing or the digital printing that is usually used and for other functions: "the conventional printing screen" ..;
At all costs to seek the slowness therefore, to take more time than usual, this same time necessary to the tables besides, the opposite of the immediate profitability, the inverse of the efficiency, counter-current in sum, as with reverse, almost a revolt ... but not a revolution, it is not done alone ...
Also not having seen the place where the drawings will be pinned or pinned on the wall as well as service notes in the offices or posters that I collected in my teenage room ...; the drawings will have to adapt to a given architecture, it's like adapting to the other, it's a bit like the art of sharing, the division of space, the selection maybe also friends, drawings, participants in the biennale but also a step towards the other, depending on the other and sometimes with the other: Others: Altruism, it's a nice word, it's also what makes me live (social minima). I have always secretly thought that an important part of my work belonged to the people who contributed for my survival allowances and their place in a public museum ... today it is not enough for me anymore, the life become too expensive me sometimes forces me to sell my work and not share it in the best way: "gratis" for nothing without even being paid for the work of hanging and scenography, transportation costs, time spent ... For some time now I have noticed that often artists are asked for money so that they can share this moment with the "lookers": in a certain way they are made to pay again for a second time ... We can now say that some rent spaces of freedom, spaces of sharing as do the sleep merchants recycled into traffickers of dreams ... just as we build here and there detention camps or guettos like the dormitory city I live and work .... That's the way men live and this story will have to be told one day ... and that's what I have to start doing a bit ... if not in my paintings, maybe a little too in the drawings or in the studio notebooks ... because their story is also a bit mine, although I sometimes like to stay as a withdrawal ... when possible ... but maybe I do not know how to tell only my story which sometimes also maybe a little theirs ...
By September so, something is going to wander here in the workshop, somehow, because my wife who gets up every morning around five o'clock and insists to go on vacation somewhere where we want good We, as on invitation, a bit like in the inaugurations ... The holidays, 1936, the paid vacation inscribed in the law ... She will make a funny face when once again she will realize that I I slipped in my luggage a few notebooks, pens, criteriums, colored pencils maybe and ... a small cardboard with drawings ...
Olivier Fouchard,
in Rives, the 25th of June 2018

Olivier Fouchard : Dessin de recherches pour "Cerclitudes". 2018. (Collection de l'Artiste) –  

Olivier Fouchard: Drawing of research for "Cerclitudes". 2018. (Collection of the Artist) - :

: Ci-dessus : Olivier Fouchard : Dessin de recherches pour "Cerclitudes". 2018. (Collection de l'Artiste) –  

 Above : Olivier Fouchard: Drawing of research for "Cerclitudes". 2018. (Collection of the Artist) - 

 Ci dessous : Olivier Fouchard : Dessin de recherches pour "Mes Tissages" (détail) , 2018. (Collection de l'Artiste)

Below : Olivier Fouchard: Drawing of research for "My Weaves" , 2018. (Collection of the Artist) :

 Ci- dessous : Olivier Fouchard : Dessin de recherches pour "Mes Tissages" (détail) , 2018. (Collection de l'Artiste)

Below : Olivier Fouchard: Drawing of research for "My Weaves" (detail), 2018. (Collection of the Artist)

Détail de

 

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BIENNALE SAINT LAURENT EN QUELQUES DATES :

PROCHAINE PARTICIPATION DE Olivier Fouchard et Olivier Fouchard Atelier :

DU 11 AU 30 SEPTEMBRE AU MUSÉE DAUPHINOIS,
INAUGURATION AU MUSÉE DAUPHINOIS
LE 15 SEPTEMBRE, LE MATIN À 11 HEURES
Musée dauphinois 
30 rue Maurice Gignoux
38031 Grenoble cedex 1

Accueil : 04 57 58 89 01
Télécopie : 04 76 87 60 22
musee.dauphinois@cg38.fr

DU 15 AU 16 SEPTEMBRE :
à la GALERIE XAVIER JOUVIN
Galerie Xavier Jouvin
Quai Xavier Jouvin à Grenoble 
(Quai parallèle à la rue St Laurent, 
de l'autre côté du pont...)

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